Au Maroc, plusieurs analystes signalent que la relation entre les médias et les services de sécurité demeure conflictuelle et risque d'engendrer des conséquences négatives sur le processus de démocratisation du pays. En effet, les journalistes partent du principe du « droit d'accès à l'information » quel que soit le contexte, vu que c'est un principe qui a été reconnu dans constitution de 2011. De ce fait, ils estiment que le comportement des services de sécurité vis-à-vis des journalistes, notamment durant les périodes critiques, n'est pas basé sur l'approche « droits ». Ils soulignent qu'il est extrêmement important que les mesures prises par les services de l'état pour combattre les violences doivent être conformes aux normes internationales des droits de l'Homme.
Dans ce contexte, la FES et le CEDHD ont décidé de publier les résultats du débat de la journée d'études intitulée…
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